Burn-out : tout ce qu’il faut savoir pour mieux comprendre le syndrome d’épuisement professionnel

Publié le 22/05/2024 à 07:38, modifié le 07/01/2025 à 09:18 dans Risques psychosociaux.

Temps de lecture : 3 min

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Pour beaucoup, le « burn-out » se résume à une forme de déprime au travail, à un sujet médiatique et à des histoires du type : « Un jour, je n’ai pas réussi à me lever » ou encore « J’ai craqué en réunion face à mon patron ». En dehors des personnes concernées, bien souvent démunies lorsqu’il s’agit d’expliquer ce qu’elles traversent, rares sont ceux qui savent ce que signifie et engendre le syndrome d’épuisement professionnel.

Le burn-out, c’est juste un coup de fatigue : FAUX

Comprendre le burn-out, c’est avant tout savoir ce dont il s’agit et comment il se manifeste. Un retour à sa définition s’impose donc.

Selon Wilmar Schaufeli et Dirk Enzmann, il s’agit « un état d’épuisement physique, émotionnel et mental résultant d’une exposition à des situations de travail émotionnellement exigeantes ».

De cette définition et des travaux de chercheurs comme la psychologue Cristina Maslach au début des années 80, apparaît toute la complexité du burn-out qui, bien au-delà d’un coup de fatigue passager, s’insinue et se manifeste à différents niveaux. Des émotions au physique, en passant par les facultés cognitives ou encore le comportement.

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