RPS et QVCT : le pas à pas d’une démarche à succès Référence : RPS.2.1

Évaluation des RPS : quelles méthodes de diagnostic privilégier ?

Selon le ministère du Travail, les risques psychosociaux, ou RPS, sont définis comme  « un risque pour la santé physique et mentale des travailleurs. Leurs causes sont à rechercher à la fois dans les conditions d’emploi, les facteurs liés à l’organisation du travail et aux relations de travail. Ils peuvent concerner toutes les entreprises, quels que soient leur taille et leur secteur d’activité ». Depuis quelques années, la réduction des RPS est au cœur des enjeux liés à la santé au travail. Dans ce cadre, pouvoirs publics, acteurs de la prévention et partenaires sociaux se mobilisent pour que leur prise en charge soit réalisée selon une approche préventive.

Stress, violences internes ou externes… les RPS engendrent en effet un malaise au travail pouvant mener jusqu’au burn-out. Chaque année, ils seraient à l’origine d’un coût social compris entre deux et trois milliards d’euros, d’après une évaluation de l’INRS, l’organisme public de prévention des risques professionnels. Le diagnostic des RPS et la détection précoce des situations à risques sont donc plus que jamais des outils indispensables pour garantir la santé physique et psychique des salariés.

Cependant, la mise en place concrète d’un diagnostic RPS peut se révéler plus compliquée que prévu, tant les méthodes et outils sont nombreux, et les synthèses, rares. Ce chapitre a donc pour objectif principal d’éclairer le lecteur concernant les différentes méthodes de diagnostic des RPS, leurs avantages, leurs limites, les combinaisons possibles entre outils, afin de faciliter la détection des situations à risques et l’accompagnement des collaborateurs.

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